Jean-Marie Charpentier, Cirad, 1995, 117 pages. La bibliographie qui suit a été établie par Guillaume Gros dans le cadre de sa thèse sur Philippe Ariès (IEP de Paris, 2002) en collaboration avec Marie-Gabriel Bodart du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad). Elle recense les références des articles ou des contributions de Philippe Ariès dans le cadre de sa carrière de documentaliste. Elles sont disponibles à la bibliothèque du Cirad à (...)
Accueil > Philippe Ariès dans son temps > Le documentaliste
Le documentaliste
– Philippe Ariès était, comme il se plaisait à le dire, un "historien du dimanche" jusqu’à son élection comme Directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS).
– En 1943, il entre à l’Institut des fruits et agrumes coloniaux où il reste jusqu’en 1977. Ce qui lui valut d’être qualifié par certains de "marchand de bananes". Cette expérience professionnelle ne fut pas une simple parenthèse dans sa vie, mais un métier dans lequel il fut reconnu également sur le plan européen et international. Philippe Ariès joua un rôle pionnier dans la modernisation des systèmes de documentation et notamment dans la création des index et des thésaurus pour lesquels il utilisa très tôt l’informatique [voir plus bas la bibliographie de ses articles dans ce domaine].
– Sur sa carrière professionnelle dans la documentation, on peut consulter :
° Geneviève Hartmann, "Philippe Ariès : le documentaliste", Fruits, vol. 39, n° 3, pp. 211-214.
° Marie-Gabrielle Bodart, "Philippe Ariès, un documentaliste pas comme les autres", Montpellier, Cirad-Ucist et Service Editions, Cirad-Flhor, 1994 et 1997, 7 p.
° Voir aussi, J. Chaumier, « Philippe Ariès, documentaliste, historien et humaniste », Documentaliste, (éditée par l’Association française des documentalistes et des bibliothécaires spécialisés), 1996, vol. 33, n° 4-5.